Zoé Ladouce

Zoé Ladouce est une artiste française. Elle est née le 28 mai 1997 à 12h33 à Rouen. Elle habite à Marseille. Elle a étudié à l’ENSBA Lyon, à l’ISDAT Toulouse et aux Beaux-Arts de Marseille. Son plat préféré est la tartine pain-beurre-confiture. Elle travaille la performance, l’installation et l’écriture, mais apprécie aussi la vidéo et souhaiterait, un jour, être peintre. Elle questionne sa vie d’artiste et aime particulièrement mettre en avant ses craintes, ses peurs et ses doutes dans le processus créatif. Elle expose là où l’on accepte ses candidatures. C’est ainsi qu’elle a été artiste associée au centre d’art Triangle-Astérides, résidente aux ateliers Achterhaus à Hambourg, et participante du Nuovo Grand Tour avec l’Institut français en Italie, à Grottole. Elle a performé et exposé au Palais Farnèse à Rome, pour 100% L’Expo aux Grandes Halles de la Villette, au Ballet National de Marseille, à la Fondation Karl Farber, à la Galerie Ladøns et au Mom-Art Space de Hambourg, aux ateliers Jeanne Barret, au Château de Servières à Marseille et à Art-o-rama, où elle a reçu le prix François Bret pour sa très jeune carrière. Sa couleur préférée est le rose. Ses hobbies sont le sport et la mise en page InDesign. Son rêve est de devenir une grande artiste pour que l’on écrive d’innombrables biographies sur son parcours.

S’inscrivant dans la lignée de la critique institutionnelle, le cœur du travail de Zoé Ladouce se concentre en une question : que veut dire, aujourd’hui, être une jeune artiste-autrice ? Soucieuse de donner à voir toutes les facettes de son métier, son travail est une mise en scène de son quotidien d’artiste. Depuis la fin de ses études aux Beaux-Arts de Marseille, elle développe une pratique entre performance et installation, qui problématise son lien avec l’écosystème du monde de l’art ainsi que son rapport au travail, qu’il soit artistique ou alimentaire. C’est avec cette dimension sociologique, accompagnée d’une malice qui lui est chère, que son œuvre nous questionne sur la place de l’échec, du doute, de la rentabilité, mais aussi du jeu, dans nos écosystèmes de l’art, entre institutions, artistes et publics.